Avec Choeur de poumons, le duo Tulip Theory se propose d’explorer le corps social : sa voix et son souffle.
Sous la forme d’une installation interactive audio et vidéo, des poumons semblent flotter dans un espace partagé avec le spectateur. Simulant la respiration, l’oeuvre opère dans un flux et un reflux d’images, esquissant un mouvement qui s’apparente à celui d’une particule.
Des portraits et des lieux extérieurs sont aussi projetés sur les parois internes de ce « choeur de poumons » dont les pulsations sont directement reliées aux corps des visiteurs. En effet, grâce à un petit objet tenu au creux de sa paume, le spectateur est en mesure d’entrer en dialogue avec cet organe improbable, suscitant un sentiment d’échange et de responsabilité.
Entre le portrait individuel et le choeur, entre le corps social et le corps physique, cette installation de Tulip Theory révèle une physicalité dont la force se signe d’une fragilité troublante quoique « élastique ».
Maria Lantin et Leila Sujir travaillent sous le label collectif de Tulip Theory depuis 2005. Leur premier projet, Tulipomania, explorait la création de sculptures vidéo virtuelles utilisant la technologie habituellement réservée aux jeux ou à la réalité virtuelle traditionnelle. Dans le cadre de la résidence à OBORO, Thea Jones, Zoe Bacchus et Miles Thorogood participent également au projet de Tulip Theory.
Avec Choeur de poumons, le duo Tulip Theory se propose d’explorer le corps social : sa voix et son souffle.
Sous la forme d’une installation interactive audio et vidéo, des poumons semblent flotter dans un espace partagé avec le spectateur. Simulant la respiration, l’oeuvre opère dans un flux et un reflux d’images, esquissant un mouvement qui s’apparente à celui d’une particule.
Des portraits et des lieux extérieurs sont aussi projetés sur les parois internes de ce « choeur de poumons » dont les pulsations sont directement reliées aux corps des visiteurs. En effet, grâce à un petit objet tenu au creux de sa paume, le spectateur est en mesure d’entrer en dialogue avec cet organe improbable, suscitant un sentiment d’échange et de responsabilité.
Entre le portrait individuel et le choeur, entre le corps social et le corps physique, cette installation de Tulip Theory révèle une physicalité dont la force se signe d’une fragilité troublante quoique « élastique ».
Maria Lantin et Leila Sujir travaillent sous le label collectif de Tulip Theory depuis 2005. Leur premier projet, Tulipomania, explorait la création de sculptures vidéo virtuelles utilisant la technologie habituellement réservée aux jeux ou à la réalité virtuelle traditionnelle. Dans le cadre de la résidence à OBORO, Thea Jones, Zoe Bacchus et Miles Thorogood participent également au projet de Tulip Theory.
Montréal (Québec) H2L 4H2