Chih-Chien Wang / The Act of Forgetting
CE QUI EST LE PLUS INTÉRIEUR – Cette nouvelle exposition de Chih-Chien Wang, The Act of Forgetting, dernière d’un cycle intense des deux années passées, affirme l’engagement de l’artiste envers une émancipation des mediums. L’installation intègre ses plus récentes œuvres vidéographiques et photographiques, mises en scène à travers une double projection centrale et un accrochage, ainsi que des objets aléatoires déposés dans l’espace et des performances ponctuelles, le tout dynamisé par de légers décalages et désynchronisations. Sujet cher à Wang, l’intimité de l’être est mise à nue par les confidences, les performances, corporelles et rituelles, d’une vingtaine d’artistes, issus de différents milieux. Invités à s’exposer devant la caméra, qui les scrute en tournant autour d’eux dans un travelling en boucle ininterrompu, acteurs, musiciens, danseurs, chanteurs performent de petites scènes, livrant le secret de souvenirs d’enfance, de sexualité, de culture et d’art.
Stephanie Loveless
Stephanie Loveless est une artiste Montréalaise, qui vit et travaille actuellement dans le nord de l’état de New York. Diplomée des Beaux-Arts de Bard College et du Rensselaer Polytechnic Institute, ses œuvres sonores, vidéos et performatives ont été largement présentées dans les festivals, les galeries, les musées et les centres d’artistes autogérés en Amérique du Nord, en Amérique du Sud, en Europe et au Moyen-Orient. Elle a été récipiendaire des prix Kodak, de l’International Festival of Cinema and Technology et de la Malcolm S. Morse Foundation. Loveless a séjourné en résidences au Centro Mexicano para la Musica y las Artes Sonoras (Morelia, Mexique), au Coleman Center for the Arts (York, Alabama) et au Studio XX (Montréal, Québec).
Chih-Chien Wang / The Act of Forgetting
CE QUI EST LE PLUS INTÉRIEUR – Cette nouvelle exposition de Chih-Chien Wang, The Act of Forgetting, dernière d’un cycle intense des deux années passées, affirme l’engagement de l’artiste envers une émancipation des mediums. L’installation intègre ses plus récentes œuvres vidéographiques et photographiques, mises en scène à travers une double projection centrale et un accrochage, ainsi que des objets aléatoires déposés dans l’espace et des performances ponctuelles, le tout dynamisé par de légers décalages et désynchronisations. Sujet cher à Wang, l’intimité de l’être est mise à nue par les confidences, les performances, corporelles et rituelles, d’une vingtaine d’artistes, issus de différents milieux. Invités à s’exposer devant la caméra, qui les scrute en tournant autour d’eux dans un travelling en boucle ininterrompu, acteurs, musiciens, danseurs, chanteurs performent de petites scènes, livrant le secret de souvenirs d’enfance, de sexualité, de culture et d’art.
Stephanie Loveless
Stephanie Loveless est une artiste Montréalaise, qui vit et travaille actuellement dans le nord de l’état de New York. Diplomée des Beaux-Arts de Bard College et du Rensselaer Polytechnic Institute, ses œuvres sonores, vidéos et performatives ont été largement présentées dans les festivals, les galeries, les musées et les centres d’artistes autogérés en Amérique du Nord, en Amérique du Sud, en Europe et au Moyen-Orient. Elle a été récipiendaire des prix Kodak, de l’International Festival of Cinema and Technology et de la Malcolm S. Morse Foundation. Loveless a séjourné en résidences au Centro Mexicano para la Musica y las Artes Sonoras (Morelia, Mexique), au Coleman Center for the Arts (York, Alabama) et au Studio XX (Montréal, Québec).