La pratique de Catherine Plaisance se caractérise par une recherche axée essentiellement sur l’esthétique de la catastrophe. Pour explorer ce sujet, elle se sert de divers médiums comme la photographie, la vidéo, le collage et le dessin. Son travail récent emploie les propriétés de la miniature pour créer des scènes dans lesquelles le paysage est bouleversé par un événement venant rompre le déroulement normal du cours des choses. Ces événements deviennent ensuite image, en étant retranscrits par la photographie et la vidéo. Transdisciplinaire, la mise en espace de ces diverses retranscriptions propose l’existence de différents niveaux de réalité régis par des logiques différentes.
Catherine Plaisance présenta son travail entre autres à la Galerie Sans Nom (Moncton, 2004), à la Maison de la culture Mont-Royal (Montréal, 2008), à la Galerie SAS (Montréal, 2009), à la Galerie Simon Blais (Montréal, 2011), au centre VU Photo ainsi qu’à La Bande Vidéo (Québec, 2012). Elle prépare actuellement l’exposition individuelle Désolation qui sera présentée à la Maison du développement durable en février 2014 ainsi que Désordre à la Galerie BAC en mars 2014. Elle prit part à de nombreuses expositions collectives dont Manif d’art 3, la Biennale de Québec (2005), (Im)mortal Love International Biennial Warsaw (2007), Peep Art/Art Voyou (L’Écart, 2009) et la 16e édition de la Biennale Internationale de l’Image de Nancy (2010). Elle fut active au sein du collectif d’artistes Les Fermières Obsédées de 2001 à 2009. Elle est boursière du Conseil des arts et des lettres du Québec et du Conseil des arts du Canada et fut récipiendaire du Prix Sylvie et Simon Blais 2011 pour la relève. Catherine Plaisance détient une maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’UQAM, laquelle fut financée par le Fonds québécois de recherche sur la société et la culture. Elle vit et travaille à Montréal.
http://www.catherineplaisance.com
La pratique de Catherine Plaisance se caractérise par une recherche axée essentiellement sur l’esthétique de la catastrophe. Pour explorer ce sujet, elle se sert de divers médiums comme la photographie, la vidéo, le collage et le dessin. Son travail récent emploie les propriétés de la miniature pour créer des scènes dans lesquelles le paysage est bouleversé par un événement venant rompre le déroulement normal du cours des choses. Ces événements deviennent ensuite image, en étant retranscrits par la photographie et la vidéo. Transdisciplinaire, la mise en espace de ces diverses retranscriptions propose l’existence de différents niveaux de réalité régis par des logiques différentes.
Catherine Plaisance présenta son travail entre autres à la Galerie Sans Nom (Moncton, 2004), à la Maison de la culture Mont-Royal (Montréal, 2008), à la Galerie SAS (Montréal, 2009), à la Galerie Simon Blais (Montréal, 2011), au centre VU Photo ainsi qu’à La Bande Vidéo (Québec, 2012). Elle prépare actuellement l’exposition individuelle Désolation qui sera présentée à la Maison du développement durable en février 2014 ainsi que Désordre à la Galerie BAC en mars 2014. Elle prit part à de nombreuses expositions collectives dont Manif d’art 3, la Biennale de Québec (2005), (Im)mortal Love International Biennial Warsaw (2007), Peep Art/Art Voyou (L’Écart, 2009) et la 16e édition de la Biennale Internationale de l’Image de Nancy (2010). Elle fut active au sein du collectif d’artistes Les Fermières Obsédées de 2001 à 2009. Elle est boursière du Conseil des arts et des lettres du Québec et du Conseil des arts du Canada et fut récipiendaire du Prix Sylvie et Simon Blais 2011 pour la relève. Catherine Plaisance détient une maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’UQAM, laquelle fut financée par le Fonds québécois de recherche sur la société et la culture. Elle vit et travaille à Montréal.
http://www.catherineplaisance.com
Alma, QC, G8B 5W1