Christopher Varady-Szabo séjournera trois semaines à Sporobole pour une résidence de recherche-création qui culminera avec le vernissage, le 26 mai à 17 h.
Le public sera invité à prendre part à la réalisation de l’oeuvre et un appel sera lancé à cet effet.
Projet de résidence (description de l’artiste) :
“Jusqu’à présent, ma pratique artistique a généré des projets principalement réalisés in situ. Mes sculptures et installations s’inspirent des structures architecturales faites de matériaux naturels comme la terre, les branches et la paille. Pour les réaliser j’emprunte et j’adapte des méthodes de construction primaires et traditionnelles authentiques. Les éléments dynamiques tels l’air, l’eau, le feu et les éléments vivants, animaux et végétaux, prennent aussi leurs places dans mes installations. Mon travail de sculpteur se fait surtout dans le cadre de résidences d’artistes et de symposiums.
Orientant ma démarche vers l’exploration des concepts d’habitat, de systèmes d’architecture et de symboles “archétypiques”, je crée des installations éphémères qui visent à révéler la relation entre l’être et l’environnement et à réactiver « l’espace primaire », une façon d’aborder la vie basée sur une approche instinctive. J’accorde beaucoup d’importance aux processus et mes projets se développent à l’échelle humaine. Je crée des espaces qui invitent à l’expérimentation des sensations singulières. Une dimension interactive avec le public s’est ajoutée à mes réalisations récentes. Les gens sont invités à participer à la construction ou encore à interagir avec la pièce une fois complétée.
On peut tirer de ma démarche de nombreuses analogies entre le territoire et l’architecture, les citoyens et leurs habitats. Je mets en chantier ces éléments pour explorer l’influence que peuvent avoir différents environnements culturels et physiques sur des façons de concevoir notre relation avec le monde qui nous entoure.”
Performance lors du vernissage dans le cadre du festival du texte court de Sherbrooke organisé par la Maison des arts de la parole.
En marge de la résidence de recherche-création du sculpteur Christopher Varady-Szabo, Alex-Ann Boucher orchestrera, tout au long du mois de mai, une performance en écho au travail de l’artiste, qui se matérialisera à deux reprises dans le cadre du vernissage de l’exposition « Boue boue ».
Au carrefour de la parole et de la danse, elle proposera une exploration du monologue intérieur, afin de faire résonner l’architecture des pensées, des angoisses, des émotions humaines. Une performance où la danse devient narration, et se déploie comme une cartographie intérieure.
Dans une démarche orientée vers l’exploration des concepts d’habitat, de systèmes d’architecture et de symboles “archétypiques”, Christopher Varady-Szabo crée des installations éphémères qui visent à révéler la relation entre l’être et l’environnement et à réactiver « l’espace primaire », une façon d’aborder la vie basée sur une approche instinctive.
http://www.festicourt.org/in-situ-paysagesdinterieurs/
Christopher Varady-Szabo séjournera trois semaines à Sporobole pour une résidence de recherche-création qui culminera avec le vernissage, le 26 mai à 17 h.
Le public sera invité à prendre part à la réalisation de l’oeuvre et un appel sera lancé à cet effet.
Projet de résidence (description de l’artiste) :
“Jusqu’à présent, ma pratique artistique a généré des projets principalement réalisés in situ. Mes sculptures et installations s’inspirent des structures architecturales faites de matériaux naturels comme la terre, les branches et la paille. Pour les réaliser j’emprunte et j’adapte des méthodes de construction primaires et traditionnelles authentiques. Les éléments dynamiques tels l’air, l’eau, le feu et les éléments vivants, animaux et végétaux, prennent aussi leurs places dans mes installations. Mon travail de sculpteur se fait surtout dans le cadre de résidences d’artistes et de symposiums.
Orientant ma démarche vers l’exploration des concepts d’habitat, de systèmes d’architecture et de symboles “archétypiques”, je crée des installations éphémères qui visent à révéler la relation entre l’être et l’environnement et à réactiver « l’espace primaire », une façon d’aborder la vie basée sur une approche instinctive. J’accorde beaucoup d’importance aux processus et mes projets se développent à l’échelle humaine. Je crée des espaces qui invitent à l’expérimentation des sensations singulières. Une dimension interactive avec le public s’est ajoutée à mes réalisations récentes. Les gens sont invités à participer à la construction ou encore à interagir avec la pièce une fois complétée.
On peut tirer de ma démarche de nombreuses analogies entre le territoire et l’architecture, les citoyens et leurs habitats. Je mets en chantier ces éléments pour explorer l’influence que peuvent avoir différents environnements culturels et physiques sur des façons de concevoir notre relation avec le monde qui nous entoure.”
Performance lors du vernissage dans le cadre du festival du texte court de Sherbrooke organisé par la Maison des arts de la parole.
En marge de la résidence de recherche-création du sculpteur Christopher Varady-Szabo, Alex-Ann Boucher orchestrera, tout au long du mois de mai, une performance en écho au travail de l’artiste, qui se matérialisera à deux reprises dans le cadre du vernissage de l’exposition « Boue boue ».
Au carrefour de la parole et de la danse, elle proposera une exploration du monologue intérieur, afin de faire résonner l’architecture des pensées, des angoisses, des émotions humaines. Une performance où la danse devient narration, et se déploie comme une cartographie intérieure.
Dans une démarche orientée vers l’exploration des concepts d’habitat, de systèmes d’architecture et de symboles “archétypiques”, Christopher Varady-Szabo crée des installations éphémères qui visent à révéler la relation entre l’être et l’environnement et à réactiver « l’espace primaire », une façon d’aborder la vie basée sur une approche instinctive.
http://www.festicourt.org/in-situ-paysagesdinterieurs/