Le projet d’installation Born to Be Wild prend la forme d’un loft qui révèle certains éléments sauvages de notre quotidien, passant le plus souvent inaperçus. Entre l’organicité d’une tapisserie de lichen et l’artifice d’un aspirateur Roomba qui fuit la présence humaine, le duo d’artistes propose un milieu de vie ambigu que l’on pourrait qualifier de jungle domestique ou de biosphère résidentielle. Si le logis établit pour l’homme une sorte de cloison avec l’extérieur, il n’en demeure pas moins qu’une part discrète de la nature sauvage parvient toujours à s’infiltrer dans nos habitats et à hanter diverses facettes de nos existences.
Mathieu Latulippe vit et travaille à Montréal. Il détient un baccalauréat en arts visuels et médiatiques à l’UQÀM. On a pu voir son travail notamment au FIFA (2005 à 2008), à Circa (2006), au Centre le Lobe (2006), et récemment à La Manif d’Art 4 (2008). Son travail sera entre autres présenté à la Galerie Clark en janvier 2009.
Thomas Ouellet Fredericks a complété une maîtrise en communication à l’UQÀM en 2003, Artiste exploitant le multimédia interractif et la performance, il a participé notamment au festival Elektra ainsi qu’à Nuit blanche en 2005. Il présentera prochainement son travail dans le cadre d’Interaccess à Toronto.
Le projet d’installation Born to Be Wild prend la forme d’un loft qui révèle certains éléments sauvages de notre quotidien, passant le plus souvent inaperçus. Entre l’organicité d’une tapisserie de lichen et l’artifice d’un aspirateur Roomba qui fuit la présence humaine, le duo d’artistes propose un milieu de vie ambigu que l’on pourrait qualifier de jungle domestique ou de biosphère résidentielle. Si le logis établit pour l’homme une sorte de cloison avec l’extérieur, il n’en demeure pas moins qu’une part discrète de la nature sauvage parvient toujours à s’infiltrer dans nos habitats et à hanter diverses facettes de nos existences.
Mathieu Latulippe vit et travaille à Montréal. Il détient un baccalauréat en arts visuels et médiatiques à l’UQÀM. On a pu voir son travail notamment au FIFA (2005 à 2008), à Circa (2006), au Centre le Lobe (2006), et récemment à La Manif d’Art 4 (2008). Son travail sera entre autres présenté à la Galerie Clark en janvier 2009.
Thomas Ouellet Fredericks a complété une maîtrise en communication à l’UQÀM en 2003, Artiste exploitant le multimédia interractif et la performance, il a participé notamment au festival Elektra ainsi qu’à Nuit blanche en 2005. Il présentera prochainement son travail dans le cadre d’Interaccess à Toronto.