La Galerie Banca Rupta, en collaboration avec Circa -Centre d’Exposition Art Contemporain, est fier de présenter l’exposition Bien peu de choses en somme de Mathieu Latulippe. Se rapprochant en quelque sorte des “vanités”, cette installation propose divers éléments qui suggèrent tous, chacun à leur manière, la vanité des biens terrestres, des richesses et du pouvoir, ainsi que le caractère transitoire des choses et de la vie humaine. En plus de comporter plusieurs références à l’univers de la science-fiction et des romans d’anticipation, Bien peu de chose en somme s’intéresse à la conquête spatiale et terrestre, aux projets les plus ambitieux et aux constructions les plus folles, aux ruines et aux empires décadents, aux mystères et à l’invisible, aux jeux d’échelle et de hasard, aux casinos, aux déserts et à la soif.
L’artiste tient à remercier le Fonds de recherche sur la société et la culture pour leur soutien à la recherche et à la production de ce projet, ainsi que toute l’équipe de Circa (Maurice, Catherine, Philippe), Sylvain Baumann, Marc Dulude et Optica, Julie Favreau, Dan Gibson, Mathieu Sabourin, Jonathan Demers, Nicole Gingras, Jean-Pierre Gauthier, Trevor Gould, Raymonde April, et bien sûr mon directeur de maîtrise Andrew Dutkevitch.
La Galerie Banca Rupta, en collaboration avec Circa -Centre d’Exposition Art Contemporain, est fier de présenter l’exposition Bien peu de choses en somme de Mathieu Latulippe. Se rapprochant en quelque sorte des “vanités”, cette installation propose divers éléments qui suggèrent tous, chacun à leur manière, la vanité des biens terrestres, des richesses et du pouvoir, ainsi que le caractère transitoire des choses et de la vie humaine. En plus de comporter plusieurs références à l’univers de la science-fiction et des romans d’anticipation, Bien peu de chose en somme s’intéresse à la conquête spatiale et terrestre, aux projets les plus ambitieux et aux constructions les plus folles, aux ruines et aux empires décadents, aux mystères et à l’invisible, aux jeux d’échelle et de hasard, aux casinos, aux déserts et à la soif.
L’artiste tient à remercier le Fonds de recherche sur la société et la culture pour leur soutien à la recherche et à la production de ce projet, ainsi que toute l’équipe de Circa (Maurice, Catherine, Philippe), Sylvain Baumann, Marc Dulude et Optica, Julie Favreau, Dan Gibson, Mathieu Sabourin, Jonathan Demers, Nicole Gingras, Jean-Pierre Gauthier, Trevor Gould, Raymonde April, et bien sûr mon directeur de maîtrise Andrew Dutkevitch.
Montréal (Québec) H3B 1A2