Férue de mythologie et de légendes, Marianne Chevalier propose une exploration picturale du chimérique « Pooka » par le biais d’une installation en estampe dans la galerie d’Engramme. Divine créature du folklore écossais, le «Pooka» prend une multitude d’apparences :
« Être mythologique de la tradition celte, le Pooka est le cousin germain du Pan grec. C’est une créature des bois, un être qui annonce parfois le malheur, mais qui est surtout un esprit de la forêt, un garde forestier. Dans la tradition celte, il se décline sous plusieurs aspects. Que ce soit sous la forme d’un cheval noir aux yeux et aux naseaux cracheurs de feu, d’un géant fait de bois ou d’un homme velu à tête de bélier ; il prend une multitude d’apparences. J’ai donc pris la décision de mettre à profit cette déclinaison, mais selon ma vision très personnelle de la chose. »
Par sa façon singulière de construire ses oeuvres (collage, juxtaposition, redécoupage et réassemblage d’imageries et de gravures du XIXe et début XXe siècle) Marianne Chevalier remanie le langage pictural de l’illustration ancienne par le moyen de la sérigraphie. Médium par lequel elle réactualise un vocabulaire esthétique oublié et révolu.
Par sa façon singulière de construire ses oeuvres (collage, juxtaposition, redécoupage et réassemblage d’imageries et de gravures du XIXe et début XXe siècle) Marianne Chevalier remanie le langage pictural de l’illustration ancienne par le moyen de la sérigraphie. Médium par lequel elle réactualise un vocabulaire esthétique oublié et révolu.
Férue de mythologie et de légendes, Marianne Chevalier propose une exploration picturale du chimérique « Pooka » par le biais d’une installation en estampe dans la galerie d’Engramme. Divine créature du folklore écossais, le «Pooka» prend une multitude d’apparences :
« Être mythologique de la tradition celte, le Pooka est le cousin germain du Pan grec. C’est une créature des bois, un être qui annonce parfois le malheur, mais qui est surtout un esprit de la forêt, un garde forestier. Dans la tradition celte, il se décline sous plusieurs aspects. Que ce soit sous la forme d’un cheval noir aux yeux et aux naseaux cracheurs de feu, d’un géant fait de bois ou d’un homme velu à tête de bélier ; il prend une multitude d’apparences. J’ai donc pris la décision de mettre à profit cette déclinaison, mais selon ma vision très personnelle de la chose. »
Par sa façon singulière de construire ses oeuvres (collage, juxtaposition, redécoupage et réassemblage d’imageries et de gravures du XIXe et début XXe siècle) Marianne Chevalier remanie le langage pictural de l’illustration ancienne par le moyen de la sérigraphie. Médium par lequel elle réactualise un vocabulaire esthétique oublié et révolu.
Par sa façon singulière de construire ses oeuvres (collage, juxtaposition, redécoupage et réassemblage d’imageries et de gravures du XIXe et début XXe siècle) Marianne Chevalier remanie le langage pictural de l’illustration ancienne par le moyen de la sérigraphie. Médium par lequel elle réactualise un vocabulaire esthétique oublié et révolu.
G1K 3P9 Québec (Québec)