La Galerie McClure est heureuse de présenter le travail récent de la peintre Karine Fréchette. Son exposition Astérismes s’intéresse à la lumière à la fois naturelle et artificielle en peinture et ainsi, indirectement, réfléchit à une relation de plus en plus complexe et altérée entre l’espace et le temps. Ce corpus se nourrit d’une fascination pour toutes formes d’ondes transmises, aussi bien à l’échelle astrale qu’à travers les télécommunications. Elle évoque des flux et des oscillations, comme si le tableau devenait le réceptacle où se fige le mouvement de courants indéfinis ou le point d’ancrage de réseaux en expansion. Matérialiser l’immatériel à travers une douzaine de tableaux moyens et grands formats.
Que ce soit à travers la répétition, la modulation et l’accumulation de motifs linéaires, ou encore des échos à des représentations digitales ou analogiques, ces différents procédés servent de matrice au véritable sujet: l’irrégularité. Le décalage provoque ainsi différentes illusions et désorientations de la perception optique et spatiale. Un espace-temps possible, mais flou.
Karine Fréchette investigue la relation entre la couleur, la lumière, l’espace et le mouvement. Sa pratique résolument néo baroque qu’elle considère près du Op Art et de l’abstraction du début du 20e siècle, s’investie dans une recherche constante pour activer l’espace entre le tableau et le spectateur. Tel un astérisme, elle tente de créer des correspondances formelles, de tracer des liens d’idée impromptus, de faire émerger des analogies.
KARINE FRÉCHETTE vit et travaille à Montréal. Fin 2016, elle terminait une maîtrise en Beaux-Arts à l’Université Concordia, après l’obtention d’un Baccalauréat en Arts Visuel et Médiatique à l’UQAM (2009). Au cours de ses études, elle reçoit le Hélène Couture Award ainsi que le Lilian Vineberg Award, et est sélectionnée parmi les finalistes au Concours pan-canadien de Peinture RBC (2014). Son travail fut notamment présenté à la Galerie B-312, à la Galerie Art-mûr, à la Galerie Stewart Hall et à la Maisond e la culture de Gatineau. Cette année, à la suite d’une première résidence d’artiste au Banff Center (Alberta), elle représentait la relève en peinture aux Jeux de la Francophonie en Côte d’Ivoire.
Conférence : Jeudi le 12 octobre à 19h
La Galerie McClure est heureuse de présenter le travail récent de la peintre Karine Fréchette. Son exposition Astérismes s’intéresse à la lumière à la fois naturelle et artificielle en peinture et ainsi, indirectement, réfléchit à une relation de plus en plus complexe et altérée entre l’espace et le temps. Ce corpus se nourrit d’une fascination pour toutes formes d’ondes transmises, aussi bien à l’échelle astrale qu’à travers les télécommunications. Elle évoque des flux et des oscillations, comme si le tableau devenait le réceptacle où se fige le mouvement de courants indéfinis ou le point d’ancrage de réseaux en expansion. Matérialiser l’immatériel à travers une douzaine de tableaux moyens et grands formats.
Que ce soit à travers la répétition, la modulation et l’accumulation de motifs linéaires, ou encore des échos à des représentations digitales ou analogiques, ces différents procédés servent de matrice au véritable sujet: l’irrégularité. Le décalage provoque ainsi différentes illusions et désorientations de la perception optique et spatiale. Un espace-temps possible, mais flou.
Karine Fréchette investigue la relation entre la couleur, la lumière, l’espace et le mouvement. Sa pratique résolument néo baroque qu’elle considère près du Op Art et de l’abstraction du début du 20e siècle, s’investie dans une recherche constante pour activer l’espace entre le tableau et le spectateur. Tel un astérisme, elle tente de créer des correspondances formelles, de tracer des liens d’idée impromptus, de faire émerger des analogies.
KARINE FRÉCHETTE vit et travaille à Montréal. Fin 2016, elle terminait une maîtrise en Beaux-Arts à l’Université Concordia, après l’obtention d’un Baccalauréat en Arts Visuel et Médiatique à l’UQAM (2009). Au cours de ses études, elle reçoit le Hélène Couture Award ainsi que le Lilian Vineberg Award, et est sélectionnée parmi les finalistes au Concours pan-canadien de Peinture RBC (2014). Son travail fut notamment présenté à la Galerie B-312, à la Galerie Art-mûr, à la Galerie Stewart Hall et à la Maisond e la culture de Gatineau. Cette année, à la suite d’une première résidence d’artiste au Banff Center (Alberta), elle représentait la relève en peinture aux Jeux de la Francophonie en Côte d’Ivoire.
Conférence : Jeudi le 12 octobre à 19h