Issue de la tradition orale, l’histoire de l’époque viking n’a été enregistrée, par les auteurs-historiens, que plusieurs siècles après les événements. La mémoire collective s’étant graduellement dissoute dans le mythe, ces histoires se sont transformées pour prendre les formes de la fiction et du documentaire.
Se référant directement aux découvertes effectuées en Amérique du Nord par les Européens, Jessica Auer s’inspire de l’archéologie et des sagas islandaises pour résoudre cet historique énigme. Après plusieurs années à suivre les traces des explorateurs vikings ayant foulé le sol du Nouveau Monde, l’artiste s’est rendue au Groenland pour rejoindre une équipe d’archéologues danois oeuvrant à la restauration des ruines des colonies vikings les mieux préservées au monde. Dans ce paysage formé de l’Ancien et du Nouveau Monde, l’histoire se révèle parmi les strates qu’elle parcourt. Les pierres qui supportaient vraisemblablement une ruine ont été intégrées à une maison moderne. D’autres pierres, employées à d’autres fins, ont été récupérées pour la restauration des sites archéologiques.
Au moyen de la photographie et de la vidéo, Jessica Auer s’intéresse aux activités humaines altérant et réinterprétant le paysage. Par de subtiles observations, l’artiste suscite des perspectives subjectives, plaçant l’accent sur les ambiguïtés inhérentes à toute approche documentaire.
L’artiste tient à remercier Georg Nyegaard, Jacob Noe Bovin, Henrik Høier, Terryll Loffler et Andreas Rutkauskas pour leurs généreuses collaborations et exprime sa gratitude au Conseil des arts et des lettres du Québec pour son soutien financier.
Issue de la tradition orale, l’histoire de l’époque viking n’a été enregistrée, par les auteurs-historiens, que plusieurs siècles après les événements. La mémoire collective s’étant graduellement dissoute dans le mythe, ces histoires se sont transformées pour prendre les formes de la fiction et du documentaire.
Se référant directement aux découvertes effectuées en Amérique du Nord par les Européens, Jessica Auer s’inspire de l’archéologie et des sagas islandaises pour résoudre cet historique énigme. Après plusieurs années à suivre les traces des explorateurs vikings ayant foulé le sol du Nouveau Monde, l’artiste s’est rendue au Groenland pour rejoindre une équipe d’archéologues danois oeuvrant à la restauration des ruines des colonies vikings les mieux préservées au monde. Dans ce paysage formé de l’Ancien et du Nouveau Monde, l’histoire se révèle parmi les strates qu’elle parcourt. Les pierres qui supportaient vraisemblablement une ruine ont été intégrées à une maison moderne. D’autres pierres, employées à d’autres fins, ont été récupérées pour la restauration des sites archéologiques.
Au moyen de la photographie et de la vidéo, Jessica Auer s’intéresse aux activités humaines altérant et réinterprétant le paysage. Par de subtiles observations, l’artiste suscite des perspectives subjectives, plaçant l’accent sur les ambiguïtés inhérentes à toute approche documentaire.
L’artiste tient à remercier Georg Nyegaard, Jacob Noe Bovin, Henrik Høier, Terryll Loffler et Andreas Rutkauskas pour leurs généreuses collaborations et exprime sa gratitude au Conseil des arts et des lettres du Québec pour son soutien financier.