28e édition du Festival international du film sur l’art, du 18 au 28 mars

OUVERTURE et CLÔTURE
Vivre avec l’art…un art de vivre – Jeudi 18 mars, 20h, Musée des beaux-arts
Views of Vermeer – 12 Short Stories – Samedi 27 mars, 20h, Musée des beaux-arts

Le 28e FIFA s’ouvrira avec la présentation de Vivre avec l’art…un  art de vivre qui présente le portrait du collectionneur Bernard Landriault à travers ses réflexions, sa relation avec les œuvres et les artistes de sa collection. Le festival se terminera avec la projection de Views of Vermeer – 12 Short Stories, où divers artistes expriment leur admiration pour l’œuvre extraordinaire du peintre hollandais qui n’a laissé derrière lui que 35 tableaux en héritage.

Lieux de projections et billetterie
Le 28e FIFA prendra l’affiche à compter du 18 mars 2010, dans neuf salles du centre-ville, soit la Bibliothèque nationale du Québec, le Centre canadien d’architecture, le Cinéma de l’Office national du film du Canada, la Cinémathèque québécoise, le Goethe-Institut, le Musée d’art contemporain, le Musée des beaux-arts, la Place des Arts et l’Université Concordia.

Les billets seront disponibles dès le 27 février à midi aux guichets de la Place des Arts ainsi qu’en ligne au www.artfifa.com ou par téléphone au (514) 842-2112. Le coût régulier des billets est de 12$ l’unité et de 80$ pour l’achat d’un carnet de 8 billets. Des tarifs jeunesse et aînés sont également disponibles. Le FIFA vendra également des billets sur place aux neuf salles lors de projections et ce, une heure avant les représentations. Finalement, nouveau passeport Arts médiatiques est disponible au coût de 25$ et donnera accès à 5 séances différentes.

Obtenez de plus amples informations en consultant www.artfifa.com ou par téléphone au (514) 874-1637 ou aux kiosques du FIFA qui seront en place dès le 1er mars à la Place des Arts et dès le 9 mars à l’Université Concordia et à la Grande Bibliothèque.

28e édition : du 18 au 28 mars 2010 PROGRAMMATION

FILMS CANADIENS EN COMPÉTITION :
Antonine Maillet – Les possibles sont infinis de Ginette Pellerin est une incursion complice dans l’univers de l’écrivaine acadienne devenue célèbre en 1971 avec La Sagouine et lauréate du prix Goncourt en 1979; dans Blanc, Noir ou Rien, on retrouve un duo porté à l’écran par Jeanne Renaud, pionnière de la danse contemporaine au Québec, et l’artiste multidisciplinaire Mario Côté, mettant en vedette deux danseurs exceptionnels : Louise Bédard et Sylvain Émard; Bull’seye, un peintre à l’affût de Bruno Boulianne trace la démarche unique de l’artiste en art visuel Marc Séguin, oscillant entre la ville et la nature, la figuration et l’abstraction; et Il était deux fois un jardin de Philippe Baylaucq propose la découverte d’une œuvre exceptionnelle d’art horticole, les Jardins de Métis où de nombreux artistes sont invités à participer au Festival international de jardins. Un autre incontournable sera Symphonie Montréal de Bettina Ehrhardt qui dépeint les temps forts de la 75e saison de l’Orchestre symphonique de Montréal, dirigée par le chef Kent Nagano; Offre-moi ton corps de Bernar Hébert et Renée Claude Riendeau raconte la démarche de photographes qui utilisent le corps humain pour exprimer certaines préoccupations humaines et sociales; Quarantaine de Marlene Millar et Philip Szporer se veut une plongée au cœur de l’identité masculine à travers des interprètes de renom dont Marc Béland, Marc Daigle, Benoît Lachambre et Ken Roy; Sullivan de Françoise Dugré propose le portrait de l’artiste Françoise Sullivan, peintre et chorégraphe, saisie sur le vif dans son atelier de Pointe-Saint-Charles; et Vivre avec l’art… un art de vivre d’Anne-Marie Tougas nous entraîne dans la vie d’un collectionneur d’art à travers ses réflexions, sa relation avec les artistes et les œuvres de sa collection.

APERÇU DES FILMS ÉTRANGERS EN COMPÉTITION :
Plusieurs grands films seront présentés en compétition traitant de diverses disciplines artistiques. L’Art de Chopin de Gérald Caillat propose un hommage à l’art de ce compositeur de grand talent; Boris Vian, la vie jazz de Philippe Kohly est un portrait de l’écrivain via sa plus grande passion, le jazz; Bruno Wollheim, le réalisateur de David Hockney: A Bigger Picture filme, sur une période de trois ans, cet artiste britannique à un tournant décisif de sa vie et dans son art. Il y aura aussi Hubert Vos et l’Impératrice, réalisé par Micaela van Rijckevorsel, illustre la restauration du tableau du peintre de la puissante Cixi, impératrice de Chine tout en saisissant l’esprit de l’époque; King of Spies – John Le Carré de Werber Köhne et d’André Schäfer nous mène à la rencontre de ce maître de l’espionnage, à la fois radical, redoutable, analytique, drôle et intelligent ;  Learning from Light: The Vision of I.M. Pei de Bo Landin et Sterling Van Wagenen expose au public les étapes de la conception du Musée d’art islamique de Doha au Qatar. Aussi, le film The New Rijksmuseum d’Oeke Hoogendijk met de l’avant les premières années de ce qui est considéré comme le plus important chantier culturel des Pays-Bas, tandis qu’Expansive Grounds, du réalisateur Gerburg Rohde-Dahl, se penche sur le controversé monument berlinois conçu par l’architecte Peter Eisenman à la mémoire des victimes de la Shoah. Or, les murs de Julien Sallé visite l’œuvre puissante du compositeur français Thierry Machuel , qui s’intéresse à l’insertion sociale des prisonniers à partir d’activités de poésie et de créations musicales; Romy Schneider – une femme en trois notes de Frederick Baker trace le portrait de cette grande actrice dans toute sa complexité; Save The Last Dance for Me: Company of Elders de Fran Landsman en surprendra plus d’un : cette histoire relate l’existence d’une compagnie de danse exceptionnelle mettant en vedette des danseurs âgés entre 61 et 85 ans. Enfin, La vie cachée des œuvres – Rembrandt de Stan Neumann se veut une étude de l’œuvre du peintre via l’œil aguerri de divers spécialistes.

D’Élisabeth Kapnist, l’art de la danse fera son entrée dans la compétition avec le film Carolyn Carlson, le regard du geste. Ce documentaire  présente le portrait de la chorégraphe-étoile et danseuse qui a créé plus de 70 œuvres dont des solos sont aujourd’hui entrés dans l’histoire de la danse. Réalisé par Henri de Gerlache, la peinture sera représentée par Magritte, le jour et la nuit en mettant le phare sur cet artiste qui maîtrise parfaitement l’art de l’absurde, tandis que Gauguin à Tahiti et aux Marquises de Richard Dindo se veut un portrait intimiste et poétique de ce grand peintre. Le film The Man without a Home: Study for a Portrait of Hugo Pratt de Nino Bizzarriui met de l’avant l’art de la BD et propose un regard passionné sur la vie d’un artiste en quête de ses secrets les plus insondables. L’art du design brillera avec le film Milton Glaser: To Inform and Delight de Wendy Keys survolant la vie et l’œuvre de ce réputé graphiste new-yorkais, à qui l’on doit notamment le fameux logo « I Love NY ». Finalement, la musique sera représentée par The Vienna Boys’ Choir – Songs Along the Silk Road de Curt Faudon, une chronique du quotidien nomade des Petits Chanteurs de Vienne pendant plus d’une année.

ARCHITECTURE
Casa Bronfman est une visite de cet hôtel de Manhattan appartenant au financier et philanthrope Edgar Bronfman Jr. et à sa femme, Clarissa Alcock Bronfman, grande collectionneuse d’œuvres d’art; CCTV, Pékin fait état de plusieurs étapes de la construction complexe du siège de la Télévision centrale chinoise; Jean Nouvel, les traits de l’architecte nous fait voir ce créateur sous un autre jour, dans un parcours intime et Sinan, a Divine Architect présente la vie de Mimar Sinan, le plus célèbre architecte ottoman de l’histoire islamique et héros culturel en Turquie.

ART ACTUEL
Chine, l’empire de l’art? pénètre à l’intérieur de l’art actuel et dévoile la double identité des créateurs chinois, à la fois « tigre » et
« panda »; About Jenny Holzer souligne l’originalité de cette grande artiste conceptualiste qui réalise des installations lumineuses; Art:21 – Art in the Twenty-first Century: Transformation présente trois artistes, Yinka Shonibare MBE, Cindy Sherman et Paul McCarthy, habitant les personnages qu’ils créent. Qu’ils observent ou raillent la société, réinventent les mythes de la littérature, de l’histoire de l’art et de la culture populaire, ils captent la sensibilité de leur époque. Let There Be Light propose des rencontres extraordinaires avec des artistes tels que Charles Ross, Anthony McCal et Alan Yentob pour qui la lumière est à la fois un matériau et une source d’inspiration. Dans Super 8 – The Art of Making It ! des conservateurs de musée, des galeristes, des spécialistes de l’art et huit artistes extrêmement talentueux – Michael Snow, Jeremy Hof, Jean-Pierre Gauthier, Peter Hoffer, Douglas Coupland, Ian Wallace, Scott McFarland et Katharine Harvey – expliquent comment ils ont réussi à se frayer un chemin dans les milieux artistiques canadiens.

 

BD
Dans Loisel et Tripp, traits complices deux auteurs de BD reconnus et estimés choisissent de mettre en commun leurs styles et leurs méthodes de travail pour donner naissance à une œuvre unique et atypique, Magasin général.

DANSE

Dans Aurélie Dupont, l’espace d’un instant, Cédric Klapisch brosse le portrait de cette danseuse engagée dans le corps de ballet de l’Opéra de Paris à l’âge de 16 ans et promue danseuse étoile en 1998. Dans le film Les cerisiers ont envahi les espaces comme incendie, la chorégraphe et danseuse Jocelyne Montpetit, en compagnie de la danseuse Tomiko Takai, jette un pont entre tradition et modernité, Orient et Occident, danse et théâtre. La chambre blanche propose une adaptation à l’écran de l’une des créations les plus marquantes de Ginette Laurin, une exploration sur la théâtralité, l’émotion et la notion d’internement. Israël Galvan nous fait découvrir l’univers de ce grand danseur de Flamenco qui a révolutionné cet art. Enfin, Sidi Larbi Cherkaoui – Rêve de Babel dresse un portrait des œuvres de ce chorégraphe considéré comme l’un des plus talentueux des dernières années.

DESIGN
German Design est une série en trois parties qui jette un regard sur le design allemand, depuis la conception de produits réputés tels que la cocinnelle Volkswageen, la chaîne stéréo Braun et la cuisine Bulthaup, jusqu’au design de mode des créateurs berlinois. La table compas et la chaise Rietveld de Danielle Schirman traite d’œuvres marquantes du 20e siècle.

HISTOIRE DE L’ART
Dans le film Les Caravage de Philippe de Bethune – L’Ombre d’un doute, le réalisateur décide de mener sa propre enquête sur l’authenticité de deux œuvres du peintre en compagnie de grands spécialistes fascinés par l’artiste. Germany’s Cold War Cultures 1945-1989 confronte les productions artistiques de l’Allemagne de l’Est et de l’Ouest durant la guerre froide. Le mystère des Thraces nous fait découvrir une civilisation injustement méconnue avec des œuvres d’art raffinées. Paris 1907: la fureur Picasso relate l’histoire du tableau qui allait révolutionner la peinture, Les demoiselles d’Avignon réalisé par Picasso en 1907.

JAZZ
Le documentaire Cool retrace l’histoire de ce courant de la musique américaine des années 1940 et 1950 popularisé par Miles Davis, qui a commencé dans les bars et clubs de New York et de Los Angeles pour ensuite se répandre dans le monde entier. Ce film présente certains des plus illustres représentants et formations du cool jazz dont le Modern Jazz Quartet, le Dave Brubeck Quartet, Chet Baker, Gerry Mulligan, Art Farmer, Oscar Peterson, Dizzy Gillespie, Stan Getz et Antonio Carlos Jobim. Harlem à Montmartre une histoire du jazz à Paris propose un portrait de l’entre-deux-guerres alors que beaucoup de Noirs américains se sont retrouvés à Paris du côté de Montmartre. C’est cette histoire que retrace Harlem à Montmartre, grâce à des documents d’archives dont certains inédits provenant des deux côtés de l’Atlantique, avec James Reese Europe, Josephine Baker, Sidney Bechet, Ada Bricktop Smith, Eugene Bullard, Django Reinhardt et bien d’autres.

LITTÉRATURE
Choses lues, choses vues transforme une célèbre salle de lecture en salle d’exposition où l’on aperçoit sur vidéo des lecteurs lisant diverses œuvres. Dans Contact, l’encyclopédie de la création : Victor-Lévy Beaulieu, le journaliste Stéphan Bureau discute avec Victor-Lévy Beaulieu de ses idées, de son inspiration. L’action se passe entre les quatre murs de sa demeure de Trois-Pistoles.

MODE
Je m’appelle Denis Gagnon est un portrait intimiste de ce designer à l’occasion de ses dix ans de carrière.

MUSIQUE
Big Alma brosse le portrait d’Alma Mahler, personnalité riche et complexe, éprise d’art et de liberté, et remonte le cours d’une existence qu’elle a voulue aussi intense que possible. Les couleurs du prisme, la mécanique du temps, inspiré par l’itinéraire d’un passeur, Daniel Caux, dresse un bilan de la musique américaine contemporaine de la deuxième moitié du 20e siècle à travers les musiques expérimentales, minimales, répétitives, postmodernes et techno. Sont présents dans le film La Monte Young, Terry Riley, Steve Reich, Philip Glass, Meredith Monk, Pauline Oliveros, Gavin Bryars, Richie Hawtin, et, grâce à des archives, John Cage. Juliette Gréco, « Je suis comme je suis » propose les confidences de cette grande dame de la chanson et légendaire muse de Saint-Germain-des-Prés. La musique, avenir du Venezuela: El Sistema est le réseau qui, depuis 35 ans, propose aux enfants défavorisés de Caracas des cours de musique afin de les intégrer dans un orchestre. The Real World of Peter Gabriel propose un retour sur le parcours militant du chanteur, ex-leader du groupe Genesis. Finalement, Steve Reich, Phase to Face revient sur les épisodes et les moments marquants de la carrière de ce grand compositeur. Il va de la création de son propre ensemble, Steve Reich and Musicians, il y a 40 ans, à ses oeuvres jouées dans une nouvelle scénographie vidéo.

PEINTURE
Dans Botero – Born in Medellin, le réalisateur Peter Schamoni, à l’occasion du 75e anniversaire de naissance du peintre et sculpteur colombien Fernando Botero, évoque la carrière à succès de cet artiste dont les œuvres ont fait l’objet de 70 expositions individuelles dans les musées du monde entier. Présenté en hommage au cinéaste Gilles Carle, le film Ô Picasso, avec l’interprète Chloé Sainte-Marie, invite à une incursion dans l’univers de l’incomparable Pablo. Renoir, au-delà de l’impressionnisme est consacré à la maturité de l’œuvre du peintre. Et dans le film Views of Vermeer – 12 Short Stories, divers artistes expriment leur admiration pour l’œuvre extraordinaire du peintre qui n’a laissé derrière lui que 35 tableaux en héritage.

PHOTOGRAPHIE
An American Journey refait le parcours de Robert Frank, inspiration de son album de photo The Americans. John Max, a Portrait est une incursion dans la vie de ce photographe montréalais qui a été expulsé de sa résidence familiale après y avoir passé 50 ans. Studio Malick : un regard sur l’autre Afrique est un coup d’oeil sur un pan de l’histoire de la société malienne à travers le regard d’une des grandes figures de la photographie africaine, Malick Sidibé.

HOMMAGE
Au cours de l’édition 2010, le FIFA rendra un vibrant hommage à André S. Labarthe, critique, scénariste, producteur et surtout réalisateur. Ce créateur complexe, curieux de tous les domaines intellectuels et artistiques qu’il analyse, exprime cette érudition dans son domaine de prédilection : le cinéma. La présentation d’une dizaine d’œuvres du cinémaste, notamment sur Arthur Penn, Carolyn Carlson, Samuel Fuller, Alfred Hitchcock, John Ford, John Cassavetes, Pierre Perrault et Martin Scorsese, sera au programme.

 

ARTS MÉDIATIQUES
Dans la section Panorama, la première d’une œuvre tant attendue depuis près de 40 ans sera enfin présentée. Il s’agit  d’un film de Charles Gagnon, tourné en 1969, resté inachevé du vivant de l’artiste et terminé, à titre posthume, par sa fille Monika. Un hommage sera aussi consacré à Daniel Olson, cet artiste prolifique de Montréal reconnu pour ses vidéos, ses installations, ses photographies et ses performances. Dans la catégorie «nouvelles perceptions », Seven Intellectuals in a Bamboo Forest dépeint l’expérience de la modernité en Chine à travers sept jeunes gens symbolisant la nouvelle génération et aborde également des thèmes universels comme l’isolement et l’aliénation. Where is Where ? de l’artiste Eija-Liisa Ahtila dresse le portrait d’un meurtre commis par deux jeunes garçons algériens qui exécutent leur camarade d’origine française. Le meurtre est examiné à la lumière de la situation mondiale actuelle.

7e ART
À l’aide d’archives inédites, Andrzej Wajda: Chronicler of Poland rend compte des démêlés constants que le cinéaste a dû subir avec la censure pour évoquer librement l’histoire de la Pologne contemporaine. Le Cinéma selon Dali aborde les recherches formelles de l’artiste sur l’image animée, son goût de la provocation et son indifférence aux objectifs commerciaux du cinéma de son époque. Disney.Pixar s’aventure dans les coulisses des studios d’animation Disney à Burbank et des studios Pixar à San Francisco, pionniers de l’animation. Il était une fois…le mépris fait revivre les circonstances entourant le tournage du film metttant en vedette Fritz Lang et Brigitte Bardot, réalisé par Jean-Luc Godard, inspiré de l’adaptation cinématographique du roman d’Alberto Moravia de 1963. Juliette Binoche dans les yeux trace le portrait de cette actrice, également peintre et danseuse. Life and Work of Milos Forman dresse le portrait exclusif de ce réalisateur d’origine tchèque, fruit de rencontres étalées sur plusieurs années à sa ferme du Connecticut, à son domicile new-yorkais ainsi qu’à Prague. The Magnificent Tati évoque les hauts et des bas de la carrière de Jacques Tati, certainement la personnalité la plus originale du cinéma comique français. Philippe Noiret, gentleman saltimbanque donne la parole à ceux qui ont tenu les premiers rôles dans sa carrière et sa vie : son épouse Monique Chaumette, et ses amis proches, Jean Rochefort, Thierry Lhermitte ou Bertrand Tavernier.

 

LE TEMPS RETROUVÉ
Le 45e anniversaire de la Fondation Maeght, dont la mission est de présenter l’art contemporain et moderne sous toutes ses formes, sera mis à l’honneur au 28e FIFA via la présentation de quatorze films de choix portant sur des artistes tels que Calder, Chagall et Riopelle. Le FIFA honore également de grands disparus tels que Jeanne-Claude, Pina Bausch, Michael Jackson et Jerome Robbins.

 

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